Je tiens à réagir aux propos qui viennent d'être tenus en défense de cet amendement, ainsi qu'à ceux que j'ai pu entendre avant la pause de vingt heures. Je suis assez surpris : votre crainte – pour faire simple – est que l'État flique les citoyens. Or l'action de l'État est contrôlée par les parlementaires ,