Vous avez expliqué tout à l'heure qu'il s'agissait d'une mise en garde, mais vous avez tout de même soutenu un amendement proposant la suppression de l'article 3, lequel sanctionne les hébergeurs qui ne retireraient pas les contenus pédopornographiques en moins de vingt-quatre heures. Or votre collègue – ce n'est pas vous, c'est l'un de vos collègues – a soutenu un amendement visant à donner à Pharos le pouvoir de faire retirer les contenus qui simuleraient des relations sexuelles avec des mineurs.