J'aimerais d'abord rappeler que les actes dont nous parlons – tortures et viols, entre autres – sont inadmissibles, qu'ils soient filmés ou non, et qu'il nous faut les combattre. Cependant, au risque de m'attirer les foudres de tout le monde, je veux dire qu'avec ces amendements, nous sommes en train de glisser dangereusement vers la police des bonnes mœurs.