Nous proposons de nouveau d'encadrer strictement l'utilisation des données biométriques, notamment de la reconnaissance faciale. Les passeports biométriques en usage impliquent de scanner, d'analyser et d'enregistrer des milliers de points sur le visage. Celui-ci est ainsi devenu une carte d'identité – au point que dans certains aéroports, le contrôle d'identité n'est plus assuré par un douanier, mais par une machine.
Le présent amendement vise à interdire de telles technologies, qu'il est bien trop facile de détourner de leur fonction initiale.