Que dire du travail forcé, cette espèce de chantage envers les plus précaires, puisque de ce travail dépendront les aides minimales permettant de survivre ! C'est d'une indécence inouïe et vous devriez éprouver le même sentiment de honte que moi. Je vois des collègues qui rigolent ! C'est vrai que la vie des pauvres que l'on va plonger encore plus profondément dans la précarité prête à rire. Quel spectacle ! Il y a des silences et des rires pires que bien des chahuts !