Différents modèles de crèches doivent pouvoir coexister. Dans ce secteur, les chefs d'établissement n'ont créé et ne gèrent souvent qu'une ou deux crèches, pour accueillir les enfants dans nos communes.
Le présent article renforce le contrôle pour tous les établissements, car nous le devons à nos enfants. Comme le montre le rapport de l'Igas, penser que la maltraitance ne concerne qu'un type de crèches est une erreur. C'est même dangereux, car avec une telle idée, nous risquerions de ne contrôler que certaines crèches, celles auxquelles vous êtes opposés pour des raisons idéologiques, et de négliger le contrôle des autres. Pourtant, c'est le contrôle de toutes les crèches du pays que nous devons à nos enfants !