Monsieur Boyard, vos propos liminaires relèvent de la méchanceté gratuite et je le déplore.
Sur la forme, le dispositif ici proposé s'insérerait mal dans le texte en raison de sa rédaction. En effet, il ne me paraît pas justifié de parler de professionnelles, au féminin. Même si l'immense majorité des personnels des crèches sont des femmes, vous auriez pu, dans un souci d'égalité, inclure les hommes.