Je ne serai pas la ministre des solidarités et des familles qui montrera du doigt un secteur en particulier, d'autant moins que ce serait prendre le risque de stigmatiser toutes les professionnelles qui y travaillent et s'y engagent au quotidien.
Le rapport de l'Igas relatif à la prévention de la maltraitance le démontre – vous le sauriez si vous l'aviez lu –, celle-ci n'est malheureusement pas liée à un modèle économique en particulier : c'est écrit noir sur blanc.