Celle de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA), qui ne prend en compte qu'une poignée d'études partiale fournies par les industriels et ignore 90 % de la littérature scientifique, c'est-à-dire la majorité des études académiques, celles de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae), de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) ou du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui concluent au caractère cancérogène, génotoxique, neurotoxique, reprotoxique, du glyphosate, également désigné comme perturbateur endocrinien ?