Monsieur Chudeau, vous avez qualifié l'éducation nationale de « grand corps malade ». Je rappelle que vous avez été membre de l'inspection générale de l'éducation nationale avant de devenir conseiller au cabinet de Gilles de Robien puis directeur de l'encadrement au ministère de l'éducation nationale et enfin conseiller pour l'éducation de François Fillon pendant cinq ans. Si le ministère de l'éducation est un « grand corps malade », il me semble donc que vous en portez une part de responsabilité !