Sur le principe, nous sommes plutôt favorables à une mesure qui nous paraît juste.
Néanmoins, nous entendons l'argument de l'inconventionnalité. En outre, comme les débats d'hier l'ont montré, une idée qui paraît juste peut s'avérer compliquée à mettre en œuvre pour des raisons techniques ou juridiques.
Quoi qu'il en soit, se pose une fois encore la question du contrôle et des moyens mis à disposition pour y procéder. Ce n'est certainement pas le rôle des cyberpatrouilleurs.
Je reconnais les bonnes intentions mais, une nouvelle fois, vous vous heurtez à la réalité.