À cette époque, nous avions beaucoup investi dans les trains à grande vitesse. En tant que responsable politique, le rapport l'École polytechnique de Lausanne, qui pointait de nombreux risques, m'avait inquiété. Nous avons commencé à investir massivement dans la sécurité du réseau.
Ces souvenirs sont lointains ; mais il me semble que nous n'étions pas spécialement alertés sur les contraintes particulières au fret ferroviaire.