Que La France insoumise, dont le seul projet est de disqualifier l'esprit de responsabilité, parle de destruction du bien commun dans sa motion de censure à propos d'une politique budgétaire et économique qui a créé 2 millions d'emplois depuis 2017 et qui fait de la France le pays le plus attractif de la zone euro depuis quatre ans, c'est assez logique ; l'ineptie des mots traduit celle de la pensée. Mais que les membres du groupe Socialistes s'y associent, qu'ils accolent leur signature à une motion eurosceptique et populiste, je ne me l'explique pas. Ils ont présidé au destin de notre pays, et peut-être y présideront-ils encore un jour. Au fond de vous, collègues socialistes, vous savez quels sont les enjeux pour notre pays quand celui-ci s'apprête à lever 275 milliards d'euros sur les marchés financiers, l'an prochain.