Au-delà de ces reniements, je veux dire surtout que les finances de la nation et la souveraineté de la France ne sont pas un jeu politique, ni un enjeu de soumission à un diktat venu de l'extérieur. Cessons de nous mentir : si le désendettement n'est plus une option, ce n'est pas par rapport à Bruxelles, ni par rapport aux agences de notation, mais par rapport à nous-mêmes. Cessons de nous cacher derrière les paravents de l'irresponsabilité.