Tels sont les principes dont nous voudrions débattre et qui pourraient guider, argument contre argument, les débats budgétaires à venir. Mais voilà, s'impose à nous, par votre intermédiaire, la volonté d'un monarque présidentiel élu par défaut, rejeté par le pays, qui s'est enfermé dans son palais et n'a plus ni souffle ni vision pour la France, autre que la ringardise de ses dogmes néolibéraux et productivistes.