J'admire votre idéalisme, mais on ne peut pas financer la transition écologique par une augmentation irréaliste de la fiscalité, ni se satisfaire de déclarations d'intention.
Nous avons besoin de cette loi de programmation qui fixera un cap à nos finances publiques et qui donnera à nos partenaires européens des garanties solides, qui nous permettront de bénéficier des subventions de l'Union européenne – on parle là d'un montant colossal de 18 milliards d'euros : autant que nous n'aurons pas à aller chercher sur les marchés financiers.