Cette concentration des pouvoirs entre les mains d'un seul homme, voilà ce que nous devons critiquer. C'est à cela que nous devons mettre fin en vous censurant, madame la Première ministre.
Nous devons porter l'ambition d'une nouvelle République, dans laquelle le pouvoir sera partagé, dans laquelle le Parlement retrouvera sa place, dans laquelle l'intérêt public et la volonté générale l'emporteront sur les intérêts particuliers et la volonté d'un seul homme.