Les spécificités des collectivités ultramarines sont trop souvent ignorées par les politiques publiques nationales. La présence, au sein du comité national, d'acteurs locaux qui connaissent les problématiques socioéconomiques de ces territoires permettrait de mieux les défendre. Ce serait d'autant plus important que les taux de chômage et de pauvreté y sont élevés, ce qui multiplie les facteurs d'inégalité et de précarité. Les problèmes ne se posent pas de la même façon pour nous que dans l'Hexagone, d'où cet amendement.