Pour beaucoup, ils venaient de la troisième banlieue parisienne. Chez les caristes, les auxiliaires de vie, les aides-soignantes, les femmes de ménage, il y avait beaucoup de personnes d'origine étrangère. Le minimum, c'est bien qu'elles puissent se défendre, être élues, être syndiquées à l'égal des travailleurs français.