Avec ces deux amendements, vous laissiez cette possibilité à des barons locaux, à des présidents de conseils départementaux, qui, pour des raisons d'affichage et de démagogie, décideraient de sanctionner certains bénéficiaires, créant ainsi une rupture d'égalité entre les citoyens.
C'est le principe de cette rupture d'égalité que vous avez décidé de défendre devant nous, alors que notre collègue Delaporte présentait un amendement portant sur le caractère aléatoire des contrôles. J'y viens.