Ce n'est pas grave. Mais simplement, vous ne pouvez pas me reprocher une absence de réaction à une époque où je n'étais pas né ! Ce n'est pas si compliqué à comprendre, et ce n'est pas parce que vous êtes élus depuis quarante ans que c'est le cas de tout le monde.
J'ai bien saisi votre propos : il y a déjà un dispositif qui existe, il n'est pas terrible, on le maintient. Un tel argumentaire me paraît un petit peu limité dans ses applications, et j'espère que vous ne le réemploierez pas à l'occasion d'autres textes, notamment à caractère budgétaire – vous pourriez nous dire que puisqu'il n'y a pas assez de lits d'hôpitaux, la situation est d'ores et déjà mauvaise et qu'il ne sert donc à rien d'en ouvrir de nouveaux.