Il serait regrettable de ne pas pouvoir discuter des moyens que l'État mettra à disposition des allocataires pour qu'ils puissent réaliser ces quinze à vingt heures d'activité. Ces heures ne correspondent ni à du travail, vous l'avez rappelé, ni au dispositif qui existe aujourd'hui. Une chose est sûre : des coûts liés à l'accomplissement de ces activités pèseront sur les allocataires. À défaut d'adopter l'amendement, je souhaiterais que M. le ministre prenne ici l'engagement que l'État se tiendra aux côtés des allocataires qui s'insèrent dans le parcours d'activité,…