Je l'ai déjà dit hier : aux riches, Bruno demande ; les pauvres, Olivier oblige. Ce double standard, qui réserve à certains les contrôles et les sanctions, montre tout le mépris et toute la haine que vous avez à l'égard des plus précaires. Si vous aviez organisé des contrôles et des sanctions de même nature pour les exilés et les évadés fiscaux, nos finances publiques n'en seraient peut-être pas là.