Il existe un deuxième type de situation : celle dans laquelle une victime de violences quitte son conjoint par peur des coups qu'il lui porte – ce en quoi elle a raison. La loi dont M. le rapporteur a rappelé l'existence permet justement d'accélérer le versement du RSA aux victimes – femmes ou hommes, d'ailleurs – ayant besoin d'une assistance.
Je voudrais ensuite souligner, monsieur le député Coulomme, que vous avez prononcé, lors de la défense de votre amendement, deux phrases inacceptables. Vous avez dit qu'une femme mourait sous les coups de son conjoint tous les trois jours en ajoutant « Ça ne vous suffit pas ». Je trouve ces propos indécents !