Vous nous avez raconté il y a quelques instants, monsieur le rapporteur, une belle histoire… Je le dis sans ironie. C'est magnifique : nous souhaitons en effet que des personnes qui se trouvent dans la difficulté, dans la précarité, qui ont des parcours cabossés, puissent être bien accompagnées. Le problème, c'est que vous ne nous dites pas tout, et que ce texte en réalité ne dit rien de tel, ou en tout cas pas que cela – et je suis gentil en formulant les choses ainsi car on est loi, avec ce texte, de cette philosophie consistant à vouloir accroître les moyens pour mieux s'occuper des gens.