Vous le savez comme moi, se concentrer sur les services d'urgences est une erreur : ceux-ci se trouvent à la conjonction de problèmes liés à la ville et d'autres liés à l'hôpital, et ils ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Croire que l'on peut régler les problèmes actuels en s'attachant simplement aux services d'urgences, c'est une erreur : il faut prendre en compte l'amont – la ville –, l'aval – l'hôpital – et la manière dont ils se coordonnent. C'est exactement cela que les quarante-et-une recommandations cherchent à préciser. J'ai entendu dire qu'elles auraient pour objectif de fermer les services d'urgences et d'empêcher nos concitoyens d'y accéder ; c'est totalement faux !