Et je récuse, madame K /Bidi, le rapprochement que vous faites entre délinquants et demandeurs d'emploi. Nous parlons des bénéficiaires du RSA, hormis les parents isolés sans mode de garde pour leurs enfants et les personnes en situation de handicap. Plutôt que de rester à la maison, les autres bénéficiaires du RSA passeraient quinze heures par semaine dans une formation ou des activités au sein d'une association ou d'une entreprise.
Deux visions s'opposent, la nôtre étant orientée vers le travail, contrepartie de toute aide et de tout salaire. Nous ne pouvons pas encourager des personnes à rester chez elle, en étant mieux rémunérées que celles qui travaillent.