Nous avons eu ce débat en commission et en séance : la suppression de la partie bonus entraînerait une augmentation mécanique des taux de prélèvements obligatoires, puisque le dispositif actuel est équilibré entre les malus et les bonus. Or la majorité a pris l'engagement politique de ne pas relever les prélèvements obligatoires. Tel est mon argument fondamental.
J'ajoute que, lorsque M. Clouet évoque l'inefficacité du bonus-malus, en citant des chiffres qui ne sont pas exacts…