Aucune des trois missions locales de mon département ne m'a dit craindre pour ses capacités à prendre en charge les jeunes. Ce qu'elles redoutent, c'est que le texte ne tienne pas suffisamment compte du caractère global de l'accompagnement.
Il faut aussi bien voir qu'un travail doit être fait auprès des entreprises accueillant des personnes éloignées de l'emploi afin qu'elles leur appliquent une approche différente favorisant confiance, solidarité et efficacité. Je pense ici à un établissement et service d'aide par le travail (Esat) de ma circonscription dont les travailleurs accomplissent leurs activités dans des entreprises hors les murs. C'est une démarche tous azimuts qu'il faut privilégier. Procéder en dressant des listes ne convient pas car suivant les personnes, les critères ne seront pas les mêmes et tous ne pourront pas figurer dans le texte.