Je reviens sur les propos de notre collègue relatifs à la question du travail et de l'émancipation, dont nous avons déjà débattu lors de la réforme des retraites. Il est indécent, de la part de personnes refusant catégoriquement de toucher aux poches des actionnaires pour financer la formation, l'innovation ou l'augmentation des salaires, de parler ainsi d'émancipation par le travail. C'est d'autant plus indécent lorsque ces mêmes personnes refusent que les salariés prennent part à la décision relative au partage de la valeur.