Il existe un environnement juridique précis : la loi « informatique et libertés » de 1978, modifiée en 2004 ; le RGPD, adopté en 2018 ; toute la jurisprudence de la Cnil, parfaitement connue, qui a trait notamment aux principes de finalité et de proportionnalité. J'y ai siégé pendant douze ans, et rien de cela n'a jamais été écarté. Rappelons que notre pays a toujours été moteur dans ce domaine en Europe.
De toute façon, même si nous introduisions les précisions souhaitées, cela n'éviterait pas, hélas, des fuites de données. Celles-ci n'ont rien à voir avec les dispositions que vous évoquez.