Après nos travaux en commission de la semaine dernière, je suis stupéfait par ce que j'entends. Il suffit de se projeter aux articles 1er et 2, que nous avons adoptés en commission, pour prendre toute la mesure de la notion d'accompagnement renforcé. C'est de la personne concernée dans son ensemble qu'il est tenu compte : à la fois ses caractéristiques propres mais aussi les freins périphériques d'ordre général – jusqu'aux proches aidants. Tous ces aspects sont pris en considération – c'est écrit noir sur blanc aux articles 1er et 2. Ne feignons donc pas, à ce stade de la discussion, de croire qu'ils sont ignorés. Je maintiens naturellement mon avis défavorable.