Ce que nous venons d'entendre est extrêmement contradictoire. D'un côté, le rapporteur affirme qu'on peut être accompagné, de l'autre, le ministre dit qu'il est possible qu'on ne puisse pas l'être. Or l'objet de l'amendement n° 1155 est précisément de reconnaître à chacun le droit à être accompagné.