…afin d'être efficace partout dans le territoire, d'ici à 2025.
Enfin, je l'ai déjà évoqué, l'Unedic affiche une trajectoire très importante d'excédents et nous prévoyons, effectivement, qu'une partie de ceux-ci financent des politiques de formation, d'insertion ou de développement de l'apprentissage – ce sont ce que l'on appelle des dépenses actives : chaque fois qu'un demandeur d'emploi retourne vers l'emploi, cela se traduit par moins d'allocations versées et davantage de cotisations perçues.
Pour répondre à M. Juvin, ce que nous prévoyons n'empêchera pas l'Unedic de se désendetter à hauteur de 50 % de sa dette d'ici à la fin du quinquennat. C'est la démonstration que nous pouvons à la fois mettre à contribution, d'une certaine manière, l'Unedic pour financer des dépenses actives en faveur du retour à l'emploi, sans contrarier une trajectoire de désendettement de plus de 50 % à l'échelle du quinquennat,…