Ce sera la fin de cette grande idée qui vit en nous depuis la Révolution française : « Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler. ». Cette idée, nous la chérissons, et nous savons que le seul obstacle à sa réalisation, c'est la fortune indécente de quelques milliardaires auxquels vous n'imposerez jamais de contrat d'engagement en dépit de ce qu'ils nous coûtent. En conséquence, collègues, rejetons ce texte !