Les personnes les plus fragiles doivent être accompagnées globalement et s'insérer dans la société grâce au travail. Je l'ai dit et je le répète : la République n'est pas quitte de son devoir de solidarité quand elle a versé à une personne 607 euros par mois ; elle l'est quand elle lui a rendu les moyens de son autonomie et quand elle lui permet d'accéder à l'emploi. Avec ce projet de loi, nous voulons tenir pour de bon, avec une série de mesures concrètes, la promesse de solidarité du RSA.