On pourrait faire de la prévention et de la sensibilisation à tous les niveaux, auprès des sportifs et des sportives pour expliquer ce que sont les violences, le consentement, ce qu'on a le droit de faire et ce qu'on ne doit pas faire, mais aussi auprès des entraîneurs, en ce qui concerne les bonnes pratiques contre les violences sexistes et sexuelles et la nécessité de mettre réellement l'athlète au centre de son projet – il faut accepter qu'il ait le droit de dire oui ou non et de fixer certaines limites. Un gros travail doit être fait en la matière.