Votre histoire, Claire, me rappelle celle de Catherine Moyon de Baecque. S'il y a eu une omerta sur les viols qu'elle a subis – elle a dû attendre dix ans pour qu'ils soient reconnus –, c'est parce que cela concernait l'élite des lanceurs de marteau en France. Est-ce la pression exercée par notre pays pour avoir des résultats en athlétisme – nous n'avons eu qu'une médaille à Budapest… – qui fait qu'on ferme les yeux ?
Nous avons obtenu la parité en politique. On doit pouvoir y arriver aussi dans les fédérations, mais cette remarque concerne plutôt les législateurs que nous sommes.