Dès qu'on est tout petit, on est habitué à accepter la douleur et une forme de maltraitance, de violence. La limite entre ce qu'on accepte de faire subir à son corps, parce qu'on a appris que c'est comme cela qu'on performera, et la maltraitance d'un entraîneur à qui on fait confiance depuis des années pour atteindre les plus hautes sphères du sport, mais qui se montre violent, est très difficile à définir.