Cet amendement, travaillé avec la CFDT, vise à octroyer une voix délibérative à chaque membre du comité national France Travail, sans qu'aucun ne puisse obtenir à lui seul la majorité absolue. Cela conforterait le système quadripartite constitué par l'État, les collectivités territoriales, les organisations syndicales et les organisations patronales.