Madame Taillé-Polian , tâchons d'être un peu plus subtils que ces histoires de méchants et de gentils. Ce que mon collègue a voulu dire, c'est que lorsqu'on est blessé par la vie et qu'on veut s'en sortir, on doit être aidé ; mais qu'il y a des assistés professionnels, si peu nombreux soient-ils, qui font un bras d'honneur à la société. Vous ne pouvez pas nier leur existence. L'argent des Français ne doit pas leur être versé.