Le système d'engagement que vous proposez a déjà été expérimenté, avec le contrat d'engagement jeune (CEJ). Or le rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur le CEJ met en évidence les limites d'un « accompagnement » qui est en réalité un système de surveillance et de flicage. Les personnes en difficulté sont celles à qui l'on impose le plus d'obligations : c'est non seulement injuste mais également inefficace. Il faut trouver d'autres formes d'accompagnement, plus respectueuses et plus à l'écoute des besoins des personnes, notamment des jeunes.