Pour parodier mon président de groupe, je dirais que nous souhaiterions que le RSA soit plutôt une « recherche de sérénité active », où le A serait aussi celui d'« accompagnement ». Comme l'a dit très justement M. Dessigny, cette démarche ne peut être que progressive pour certaines personnes trop éloignées de l'emploi.
Sur cette série d'amendements défendus avec des argumentations très différentes, je ne voterai pas, car l'obligation des 15 heures m'interroge. De fait, pour tenir compte de la diversité des situations, elle devrait être enrichie d'une notion de progressivité.