Monsieur le rapporteur, le bénévolat forcé, la formation par la mise en situation de travail, le recrutement par simulation ou les stages ne semblent pas vous choquer ni vous paraître hors de propos. Si toutes ces actions peuvent être demandées aux allocataires, cela signifie que le travail gratuit est autorisé. J'espère qu'il s'agit d'une erreur. Nous sommes tous d'accord pour lutter contre l'isolement en invitant les personnes à effectuer des activités, mais vous n'aiderez jamais qui que ce soit en supprimant son revenu mensuel de 608 euros. Ce sera pourtant l'une des conséquences de votre texte.