Je ne suis pas opposé, par principe, à ce que ces personnes exercent une activité, mais il faut définir les notions. L'activité peut être au service de l'intégration ou de la réinsertion. C'est ce qui se fait dans les chantiers éducatifs, mais dans un cadre bien défini. En revanche, considérer l'activité comme une contrepartie à la prestation me pose un problème. Si on ne définit pas le périmètre de l'activité, on y fera entrer n'importe quoi, et certainement pas des outils au service du retour à l'emploi.