Je soutiens cet amendement car on a besoin d'être entendu, d'échanger, de dialoguer pour faire son diagnostic en ayant le sentiment que l'on est pris en compte en tant qu'être humain singulier. Ce n'est pas ce qui se passe quand on est face à une machine. Nous avons déjà vu les effets de la dématérialisation de l'accueil et de la difficulté d'obtenir des réponses dans les services publics d'une manière générale. Il faut véritablement miser sur le facteur humain parce que c'est là que se trouve la solution : la machine doit rester un auxiliaire.