Pour assurer à une personne un accompagnement durable et de qualité, il faut prendre en compte sa situation globale. L'expression « le cas échéant » sous-entend qu'il n'y a pas véritablement de difficulté ou qu'il faut que la personne les ait identifiées, verbalisées. Or il est compliqué pour une personne privée d'emploi d'exprimer tout cela lors du premier rendez-vous, en vue d'une orientation. Il faut admettre dès le départ que la personne connaît des difficultés, qui restent à identifier.