En début de manifestation, certains cherchent les principales chaînes d'information en nous disant que nous sommes incompétents et que nous ne réalisons pas un véritable travail de presse, à l'inverse des street journalistes. Cette remise en question de notre travail est fréquente. Depuis les Gilets jaunes, nous sommes habitués à cette lecture des médias : certains nous appellent « télé-poubelle » ou les « merdias ».