Il y a deux types de violence. Il y a la violence physique par laquelle les agresseurs cherchent à casser, y compris à casser des journalistes et leur matériel. Et il s'y ajoute la violence psychologique faite d'insultes, d'invectives et d'intimidations. Or, ce ne sont pas les mêmes individus qui déploient ces différents types de violence. Les black blocs et les casseurs sont redoutés pour leur agressivité physique. Les manifestants de type Gilets jaunes exercent plus une pression psychologique sur nos équipes.