Des travailleurs sociaux pourraient sans doute réagir sur ce point. La rationalisation du vécu s'est étendue : tout est si encadré que la vie ne se déploie pas. Qui peut dire que l'existence qu'il mène est véritablement dense ? Vous-mêmes, où trouvez-vous des lieux favorables à l'exercice de la pensée, au développement, à l'accomplissement de l'existence ? Ces espaces se réduisent.